Mardi 12 mars 2019, la première formation de l’année a été un grand succès.

En collaboration avec Cauberg-Huygen, ENMO Sound & Vibration Technology a organisé la formation ‘Son à basse fréquence’. Pendant cette formation, vous apprennez ce que le son à basse fréquence est, comment il peut être mesuré, quand il peut être considéré comme désagréable et quelles alternatives vous pouvez offrir à ceux qui sont génés.

Les résultats du quiz l’ont montré clairement: les participants ont beaucoup appris pendant la 8e formation‘Son à basse fréquence’ qui a eu lieu le 12 mars à l’ENMO à Vosselaar (Belgique).

Au premier tour de questions pendant le matin, il y eu beaucoup de divisions parmi les participants concernant les réponses correctes, mais il n’y avait plus beaucoup d’hésitation à la fin de la journée. À l’unanimité, tous les participants ont choisi (presque) toutes les réponses correctes. Pas tout le monde a marqué un 10, mais tout le monde a très bien réussi!

Qu’est-ce que les enseignants Carel Ostendorf (Cauberg Huygen) et Piet Sloven (consultant indépendant) ont expliqué aux participants?

Pour pouvoir résoudre un problème avec le son à basse fréquence d’une manière structurée, il est important d’avoir: des connaissances théoriques sur le son à basse fréquence, des connaissances de la transmission du son et de connaître un peu l’acoustique d’espace avec interférence, vagues debout, ventres et noeuds. Ces concepts ont été discutés pendant le premier bloc de la formation.

Le deuxième bloc s’agissait de la façon dont comment gérer les plaintes sur le son à basse fréquence et les pièges.

Après le délicieux lunch de sandwich il était temps pour le troisième bloc: les mesures.

Les participants n’ont pas seulement reçu des explications de Carel sur comment, quoi, où et quand on peut mesurer, mais ont ensuite pu pratiqué avec leur propre sonomètre ou un sonomètre mis à disposition par ENMO ou Cauberg Huygen.  Bien que tout le monde avait mesuré dans la même pièce et à la même source sonore basse fréquence, la differences dans les résultats de mesure semblait très grande. Le bruit, les différentes mineures dans la position de mesure et les différences dans les immissions sonores contribuaient aux résultats variables. Certains participants ont été surpis. La mesure du bruit à basse fréquence semble donc d’être plus compliqué que de presser une touche.

Dans le dernier bloc, l’évaluation des propres résultats de mesure était sur le programme. Piet a montré qu’il existe de nombreux cadres de test possibles, tous avec leur propre histoire.  Enfin, la jurisprudence sur le son à basse fréquence à été abordée. Une matière difficile pour le vraie technophile, mais nécessaire pour pouvoir encadrer la recherche correctement.

Qu’ est-ce que les participants pensaient de la formation? « Éclairant » a trouvé l’un des participants et un autre a nommé le cours « une dépense significative de la journée, amusant et instructif ». Encore un autre  a constaté qu’après le cours il était prêt à s’attaquer à des sons de basse fréquence structurés et sur la forme d’évaluation il y avait aussi un joli slogan disant: « l’avenir de l’acoustique est inférieur à 63 Hz ». Nos participants savent au moins comment il peuvent faire face à cela.